Découvrez la cérémonie des Mooc of the year de l’intérieur. Entre fous rires, petits imprévus, moments de panique et cauchemars, ce premier évènement organisé par nos équipes ne nous aura pas laissé indemnes. Aujourd’hui, l’Oeil de My Mooc vous donne accès à ces moments de vie et vous dévoile les anecdotes croustillantes de cette préparation. Bienvenue aux « Perles » of the year !
La palme de la plus grosse frayeur :
A J-10 des Mooc of the year, l’équipe a eu un petit coup de chaud. En effet, après relecture du programme, Clément découvre une erreur. Évidemment ils avaient été envoyés à l’impression la semaine précédente. Une course à la montre s’engage, et nous devons absolument prévenir le prestataire afin d’empêcher la production du fichier erroné. Une frayeur qui s’est – heureusement – soldée par un soulagement ! L’équipe a pu rectifier la faute et recevoir les programmes avant la cérémonie.
Pour le prix de « L’imagination la plus débordante » :
Clément Meslin, fondateur de My Mooc nous raconte : « Un soir, j’ai rêvé d’un truc complétement surréaliste. Nous étions le jour de la cérémonie, mais une attaque de drones nous empêchait d’organiser cette soirée. Nous étions cloitrés dans les bureau alors qu’une guerre humano-robotesque éclatait à l’extérieur. Mais tout ce qui m’importait : c’était l’annulation des Mooc of the year ! »
Chacun ses priorités…
Dans la catégorie « Moment oups » :
Gaëlle Di Blasi, chargée de communication pour la start-up : « Nous avions rendez-vous chez Google afin de finaliser les derniers détails techniques avant la soirée. Notre contact sur place nous délivrait de nombreuses informations précieuses à l’organisation. Lorsque j’ai dû prendre en note ces données, je me suis rendu compte que je n’avais ni mon iPhone, ni mon carnet, ni mes dossiers. Tout était au bureau. Heureusement, Clément a sauvé l’honneur et à dégainé du papier et un stylo… »
Pour le prix du plus gros moment de solitude :
Gaëlle : « Nous avons prévu de nombreuses animations pour la soirée et nous étions chez un prestataire afin de tester un casque de réalité virtuelle. Il était 18h et j’étais un peu fatiguée. A la vue de Clément avec le casque sur le nez, en train d’effectuer des mouvements brusques, une envie de fou rire m’est venue. Le genre de fou rire incontrôlable qui nous force à sortir d’une pièce. Heureusement, j’ai réussi à me contenir jusqu’à la fin du rendez-vous, mais en sortant et en racontant la scène à Clément, j’étais partie pour 10 minutes d’éclats de rire ! »
Enfin, le meilleur moment de la préparation de la soirée ?
Gaëlle : « Je pense qu’il y en a beaucoup, cet événement est un véritable accomplissement, alors nous avons vraiment apprécié chaque moment de son organisation ».
Clément : « Oui c’est vrai, mais il faut avouer que le moment le plus grisant a été le lancement de la communication de l’événement. Grâce à l’article du JDN, certains quotidiens nationaux ont relayé l’information (ndlr : Le Parisien, Le Monde). Nous avons dû faire face à plus d’un millier de demandes d’inscriptions ainsi qu’à une centaine de candidats. C’était inattendu ! »